L’avancée et la prolifération des logiciels de rançon (appelés communément ransomware) continuent de créer un malaise dans tous les secteurs. Les journalistes de « Valor afegit » de la chaîne de télévision espagnole TV3 se sont permis d’interviewer Jordi Puiggalí, Vice-Président et directeur de la Recherche et de la Sécurité de Scytl, qui confirme que l’idée reçue comme quoi notre niveau de connectivité est à l’origine des virus n’est pas fondée et que le vote papier n’est pas le seul moyen de garantir un vote privé et sécurisé.
- Ce n’est pas le niveau d’hyper-connectivité qui nous rend vulnérables en tant que société, c’est le manque d’implantation de mesures de sécurité efficaces et adéquates.
- Les processus de vote manuels (sur place ou par voie postale), en plus d’être potentiellement risqués à cause de la possibilité d’erreurs humaines, sont beaucoup plus sensibles aux manipulations indétectables que les processus de vote numérique.